





Dancers take over public spaces to move their bodies. This appropriation through the body raises the question of freedom of movement. “The dance floor is a political arena,” particularly in street training sessions for hip hop dance. Social life is a training ground for constraining the body, while dance is a space for artistic, social, and political resistance.
Just like the red poppy, which grows like a rebellious flower in fields and concrete, often considered a weed, it cannot be picked because it wilts immediately.
Elusive and evanescent, this flower poetically symbolizes the expression of the dancers' bodies. Through dance, they create a space for dialogue and assert their existence within increasingly constrained public spaces.
NouN documented, photographed, and participated in dance rehearsals that took place in an open hall in Paris from February to April 2021 during Covid-19 pandemic.
Just like the red poppy, which grows like a rebellious flower in fields and concrete, often considered a weed, it cannot be picked because it wilts immediately.
Elusive and evanescent, this flower poetically symbolizes the expression of the dancers' bodies. Through dance, they create a space for dialogue and assert their existence within increasingly constrained public spaces.
NouN documented, photographed, and participated in dance rehearsals that took place in an open hall in Paris from February to April 2021 during Covid-19 pandemic.
Techniques: oil pastel, pencil, and acrylic on concrete, all-over posters, sound creation, series of photographs
With the participation of beatmaker-dancer Lumi Sow, the creative studio La Bijoutery, Daniel Coehlo, and Sophie Bocher Meunier.
With the participation of beatmaker-dancer Lumi Sow, the creative studio La Bijoutery, Daniel Coehlo, and Sophie Bocher Meunier.
“HARDCORPS,” group show with the Kourtrajmé school at 104 in Paris, 2021.
Les danseur·se·s s’approprient l’espace public pour faire danser leurs corps. Cette appropriation par le corps pose la question de la liberté de se mouvoir et de se déplacer. « Le dancefloor est un ring politique », notamment au sein des « training de rue » en danse Hip Hop. La vie sociale est un entraînement à contraindre les corps, danser est un espace de résistance artistique, sociale et politique.
Tout comme le coquelicot qui pousse comme une fleur rebelle dans les champs et le béton, souvent considéré comme une mauvaise herbe, elle ne peut être cueillie car se fane aussitôt.
Insaisissable et évanescente cette fleur symbolise avec poésie l’expression des corps des danseur·se·s. En dansant ils/elles créent un endroit de dialogue et affirment leur existence au sein d’espace publics de plus en plus contraints.
NouN a documenté, photographié et participé à des entraînements de danseur·se·s qui ont lieu dans une halle ouverte à Paris, du mois de février à avril 2021 pendant la pandémie de Covid-19.
Insaisissable et évanescente cette fleur symbolise avec poésie l’expression des corps des danseur·se·s. En dansant ils/elles créent un endroit de dialogue et affirment leur existence au sein d’espace publics de plus en plus contraints.
NouN a documenté, photographié et participé à des entraînements de danseur·se·s qui ont lieu dans une halle ouverte à Paris, du mois de février à avril 2021 pendant la pandémie de Covid-19.
Techniques : pastel à l’huile, crayon et acrylique sur béton, all-over d’affiches, création sonore, série de photographies
Avec la participation du beatmaker-danseur Lumi Sow, du studio de création La Bijoutery, Daniel Coehlo et Sophie Bocher Meunier.
Avec la participation du beatmaker-danseur Lumi Sow, du studio de création La Bijoutery, Daniel Coehlo et Sophie Bocher Meunier.
“HARDCORPS ”, exposition collective avec l’école Kourtrajmé au 104 de Paris, 2021